Où en étions nous resté dans le numéro précédent ?... Ah oui,
la bataille est engagée au large de la Crète, et un avion vient de
repérer le porte-avions britannique Formidable, escorté de seulement
deux bâtiments...
Les opérations aériennes
Ayant supposé que les convois allemands avaient pris la mer,
Michel et Stéphane décident d'envoyer une formation aérienne les
intercepter.
Pour cela ils font décoller à 8h15 12 Fulmans (armés chacun d'une
bombe de 250 kg) et 2 Albacores (1 BB de 500 kg + 2BB de200 kg)
La mission principale signalée à l'arbitre est : « intercepter
tout groupe naval rencontré » (En fait ils recherchent les péniches).
Objectif secondaire : l'aérodrome d'Eleusis.
Les effectifs aériens du Formidable sont alors réduits à 2 Fulmars
et à 6 Swordfishs. C'est peu, trop peu... ! Heureusement qu'à 8 h 26
les 8 Fulman rescapés du raid sur Scarpento arrivent en vue du
porte-avions.
Opérations d'appontage : 8 minutes = 8h34
Descente dans les hangars : 4 minutes = 8h38 (2 ascenseurs : 2 avions
par minute).
Opérations de ravitaillement : 20 minutes : 8h58
Donc au moment où l'Arado 196 passe son message de découverte
il y a à bord du Formidable l0 chasseurs de prêts : les 8 revenus de
Scarpento et les 2 qui sont restés à bord.
Entretemps (à 8h51) sont arrivés les 8 Albacores revenant de Scarpenro.
A 9h03 ils sont dans les hangars et seront normalement prêts et armés.
Vers 9h48. C'est au moment où les Anglais commencent à être un peu
rassurés et mettent cap au Sud pour rejoindre l'escadre que soudain 1e
contrôle radar du Formidable signale à la passerelle avoir détecté un
vol d'une vingtaine d'appareils se dirigeant droit sur le porte-avions.
Pour les Anglais 20 appareils, vraisemblablement des bombardiers, qui
attaqueront en altitude, cela n'est à leur avis pas trop grave. Ils
savent qu'ils sont hors de portée des Stukas et que les JU-88 ayant
participé au raid sur Malte ne peuvent pas encore être engagés. Donc,
pour eux, il ne peut s'agir que de bombardier d'altitude. Ce qu'ils
ignorent c'est le mouvement aérien nocturne qui a permis à Serge de
baser les SM-79 et les RE-2000 en Grèce. Et, surtout, que parmi les
avions qui arrivent se trouvent 12 des meilleurs chasseurs italiens de
l'époque. Car ne pouvant engager qu'un nombre limité d'avions
torpilleurs, Serge les protège au maximum.
Le Central informations du Formidable a détecté l'escadrille
ennemie à 50 milles (92 Km) environ du point où se trouve le
porte-avions. Le temps presse ! La formation ennemie vole à 360 km/h,
dans un quart d'heure ils seront sur l'escadre. Le Formidable se place
debout au vent pour lancer les 10 Fulmars. En 5 minutes les chasseurs
ont décollé, il leur en faut autant pour monter à 3 000 m. Le temps de
grimper encore un peu et voici la formation ennemie. L'escadrille
britannique se trouve soudain engagée par des chasseurs italiens et pas
n'importe lesquels : 12 RE-2000 « Falco », (valeur de combat 81,6
points) !
Les 10 Fulmars plus lents que leurs adversaires, n'ayant que 65
points de valeur sont obligés de subir le combat sans pouvoir
intercepter les avions torpilleurs italiens qui, montant en altitude se
tiennent à l'écart de l’engagement. Dans le combat entre chasseurs des
deux camps la proportion est de 1,26 en faveur des Italiens. Réalisant
tout à coup que la chasse du porte-avions va être surclassée, les
Anglais indique à l'arbitre que 12 Hurricanes décollent d'Alexandrie, à
la vitesse maximale, cap sur le Formidable. Il est hélas bien hop tard
! Les Britanniques qui, décidément n’ont pas de chance perdent 5
Fulmars pour 1 RE-2000 dans le camp italien. Se regroupant, les deux
RE-2000 survivants rejoignent les 6 SM-79 et, tous ensembles, foncent
au ras de l'eau vers leur seul objectif : Le porte-avions. Pourquoi les
Anglais n'ont-ils pas fait décoller
- Les 8 Albacores qui auraient pu intercepter ou tout au moins
gêner les avions torpilleur italiens ? MYSTERE !
- Les
6 Swordfishs pour les sauver au cas où le porte-avions serait soit
coulé, soit sévèrement endommagé. Tout cela était réalisable car le
combat aérien ayant duré 10 minutes donnait le temps à 20 appareils de
décoller du Formidable.
L'attaque du porte-avions
La formation adoptée par les Anglais a été celle « en ligne », (voir
schéma ci-dessous).

Aucun navire ne se présentant en « écran » du porte-avions, ce
dernier offre son énorme masse de 230 mètres de long aux coups des
avions torpilleurs. Même à 30 nœuds, la cible est magnifique. (Le
tableau 1 de l'annexe 15 d'Amirauté indique 28 % de chances d'atteindre
le but). La DCA anglaise comporte au total 128 tubes (80 pour le
Formidable + 24 pour chacun des deux croiseurs). Seulement, les
assaillants arrivant au ras de l'eau, et d'un seul bord, il n'y a que
50 % de pièces qui peuvent tirer. Sentant le danger, les artilleurs
britanniques tirent à une cadence infernale, 1 RE-2000 puis 2 SM-79
s'abattent dans les flots. Mais les autres ont passé ! Dans les 4
avions torpilleurs survivants, les pilotes, la main sur le levier de
déclenchement des torpilles voient la cible devenir immense, à 400
mètres ils déclenchent le tir, libérant chacun 2 torpilles de 450. Huit
sillages mortels filent sournoisement vers l'objectif. L'une après
l'autre, 3 explosions ébranlent le porte-avions bousculant les avions
sur le pont ; à l'intérieur toutes les lampes s'éteignent et le navire
prend immédiatement une gîte inquiétante de 10 degrés. La machine ne
répond plus, toutes les communications sont coupées. Le navire vient
d'être touché à mort !
L'arbitre annonce au commandement germano-italien : « 3 torpilles
au but », et aux Anglais « 3 torpilles ont atteint le porte-avions, 39
points de dégâts ». (Le Formidable valant 45 points, on mesure
l'étendue du désastre !). Il ne lui reste plus que 6 points,
c’est-à-dire environ 15 % de son potentiel initial.
La 2° intervention des Stukas
Pendant que ceux, en cours de ravitaillement sur la base de
Scarpento étaient sévèrement étrillés, d'autres se préparaient pour le
deuxième raid de la journée. Et à 9 heures, Serge faisait décoller : 12
JU-87 de Molaoï, 6 d'Eleusis, 6 d'Argos et 6 de Tatoi, soit au total 30
stukas qui se regroupant en mer au sud d'Athènes, fonce vers la Crète.
Leur mission consiste, partant de la région d’Héraklion délaissée lors
de l'attaque matinale, d'explorer (cap à l'Est) la portion de mer
s'étendant d'Héraklion jusqu'à la pointe Nord-Est de l'ile.
Ce groupe aérien n'aura aucun mal à découvrir les 7 cargos partis
d'Héraklion (un premier convoi de 4 suivis d’un deuxième convoi de 3
cargos). Et ce sera la répétition (en plus grand) de l'attaque
effectuée par les 18JU-87 de Scarpento. Mais, alors que les cargos
coulés durant le premier raid étaient vides, ceux qui sont envoyés par
le fond sont chargés à bloc de troupes et de matériel Le score est sans
appel : 7 cargos coulés entraînant la perte de 4 000 hommes de troupe
et de 3 000 tonnes de matériel. Le convoi n'étant pas protégé ni
escorté, les appareils allemands n'ont pas subi de pertes.
Carte des opérations
- 1 - Escadre légère de Messine (cap sur Malte, puis route vers la
Crète)
- 2 - Escadre de Naples
- 3 - Escadre de Tarente
- 4 - Escadre légère de Malte (tracé en pointillé - d abord cap sur
le Sud-Est de la Sicile puis route à l'Est vers la Crète)
- 5
- Flotte d'Alexandrie (route suivie plein Ouest, parallèle au rivage,
puis remontée au Nord-Ouest. A 7h30 le porte-avions Formidable et 2
croiseurs se séparent de l'escadre pour filer au Nord-Est. 6
- 7 - Escadre d'Alexandrie qui a appareillé à 03 heures, cap sur le
Sud-Est de l'ile de Crète
- X = Ici a eu lieu l'attaque sur le Formidable
Préparation d'un second raid contre le Formidable
Parallèlement à cette action facile, le commandement allemand
prépare une action d'envergure. En effet, réunissant tous les
bombardiers disponibles, Serge a décidé d'en finir avec ce porte-avions
qui constitue pour lui ure menace redoutable. (Il ne connaît pas en
effet le nombre de points de dégâts causés au porte-avions et le croit
toujours opérationnel). A cet effet, il informe l'arbitre (plan de vol
fourni) qu'à 11 heures une attaque aura lieu comprenant 75 appareils
dont ci-joint le détail : 21 JU-88, 9 He-111, 36 Do-17 escortés par 9
ME-l10 ; munie de bombes de 250 et 500 kg cette formation paraît à
première vue devoir ne faire qu'une bouchée du Formidable et de ses
deux croiseurs. Nous allons voir plus loin qu'il n'en sera rien.
Une timide réaction britannique
Aux environs de 10 heures, 12 Fulmars et 2 Albacores remontent
le long de la côte Grecque à la recherche du convoi de péniches qu'ils
n'arrivent pas à localiser. Par contre, les appareils allemands qui
couvrent les aérodromes de Tatoi, Eleusis et Argos sont aussitôt
dirigés vers le groupe britannique. Ces derniers foncent vers Eleusis
(leur 2° mission prévue) mais ont la désagréable surprise de voir
arriver un fort contingent de chasseurs ennemis. Les Anglais, sans
hésitation refusent le combat (ils n'avaient, en effet aucune chance
contre les 17 ME-109 de l’adversaire) et repartent en ayant l'intention
de lâcher leurs bombes sur la base d’Argos. Toujours poursuivi par les
ME-109 qui commencent sérieusement à se rapprocher, ils sont soudain
engagés par 8 ME-l10 qui, eux, couvraient l'aérodrome d'Argos. Il
s'ensuit un premier combat, bientôt suivi d'un second mais auquel
participent cette fois les ME-109. Les Anglais qui ne se sont pas
délestés de leur chargement de bombes sont en mauvaise position. A
l'issue des 2 combats les pertes sont les suivantes :
Pour les Britanniques : 6 Fulmars + 1 Albacore
Pour les Allemands : 1 ME-l09 + 1 ME-l10
Les bombes lâchées sur la base d'Argos provoquent 9 points de dégâts
aux installations.
Les Anglais sauvent leur porte-avions
Comme prévu, à 11 heures, l'armada aérienne préparée par serge
arrive dans la zone où le Formidable a été au préalable attaqué. Ce
qu’il ne sait pas c'est que son Arado 196 de reconnaissance a été
abattu au cours d'un bref combat par les appareils de la chasse
anglaise enfin arrivés d'Alexandrie et surtout que l'escadre
britannique a pu rejoindre à temps son porte-avions et constitue
maintenant un rempart quasi infranchissable.
Ce qu'il aperçoit maintenant n'est plus un petit groupe naval de 3
navires mais une véritable flotte qui défile, bien groupée, sous les
yeux de ses pilotes stupéfaits. Il y a là 2 cuirassés et 2 croiseurs
anti-aériens encadrant le porte-avions blessé escortés de 6 autres
croiseurs et d'une bonne douzaine de destroyers.
Les avions à croix gammée tournent dans le ciel peuplé,
d’éclatements de DCA, hésitant sur la tactique à employer, Serge hésite
car, cette fois, la noix s'avère dure à caser ! Finalement, et pour
éviter au maximum la défense anti-aérienne de la flotte anglaise, il
décide d'attaquer 2 croiseurs naviguant à l'extrémité de l'escadre. A
ce moment-là 12 Hurricanes piquent vers le JU-88 qui sont les appareils
les plus dangereux pour les navires anglais car eux, bombardent en
piqué. Aussitôt les ME-110 de l'escorte larguent leurs bombes à la mer
et engagent les appareils britanniques. Les pertes provoquées par le
combat aérien sont les suivantes : 4 ME-110 et 1 JU-88 pour 2
Hurricanes. Le reste de l’aviation allemande attaque aussitôt les
croiseurs Kent et Suffolk moitié en piqué, moitié en bombardement à
basse altitude. Le Kent encaisse 14 points de dégâts et le Suffolk l8
points. 3 JU-88, 9 DO-17 et 3 ME-110 sont abattus par la DCA de
l'escadre. Michel et Stéphane peuvent être satisfaits : une vingtaine
d'avions ennemis ne retourneront pu, à leurs bases, 2 croiseurs
endommagés : la Flotte s'en est bien tirée. Et surtout le Formidable,
bien qu'indisponible pour plus d’un an, n’a pas été envoyé par le fond
ce qui, du point de vue du moral est très important.
Des bombes sur Molaoi
Pendant que les appareils allemands retournent vers leurs
aérodromes pour y lécher leurs blessures, une vingtaine de bombardiers
moyens anglais venus d'Alexandrie, attaquent par surprise la base de
Molaoi. Là encore, Serge avait prévu le coup : aucun appareil sur la
base. Mais la chasse concentrée dans le Nord n'a pas le temps
d'intervenir. Les Anglais ne subissent donc aucune perte en appareils
et, par contre, infligent à cette base des dommages considérables :
16,15 points de dégâts aux installations, 3 points de dégâts à la DCA.
Sur le plan stratégique, et à condition de pouvoir maintenir cette
pression, les résultats sont bons pour les Anglais puisque les deux
bases les plus proches de l'ile de Crète (Scarpento et Molaoi) sont
pratiquement neutralisées en cette matinée.
Une mauvaise rencontre à la mer
Depuis le début de la partie, les sous-marins des deux camps ne
s'étaient pas beaucoup manifestés. A part le Britannique qui avait
coulé un de ses confrères italiens, les autres attendaient « l'occasion
», vous savez celle qui n'arrive qu'une fois dans la vie d'un
sous-marinier ; je veux dire d'un joueur de wargame, principalement
d'Amirauté. Et, justement vers 13 h 10, l'arbitre informe les «
Italiens » qu'un de leurs submersibles voit venir vers lui, tout
d'abord de nombreux mats qui pointent à l'horizon et qui se
transforment bientôt en 3 croiseurs et 4 destroyers cap droit sur le
sous-marin à une vitesse d'environ 30 nœuds. Le commandant n'a pas de
peine à identifier une escadre légère anglaise (celle de Malte).
Décision immédiate : on plonge à l'immersion périscopique (14
mètres), 1es 8 tubes lance torpilles parés à lancer. Et l'attente
commence.
Quels événements vont surgir à nouveau ?
Le Commandant italien va-t-il saisir sa chance ? En sera-t-il empêché ?
Vous le saurez dans le prochain numéro de Casus-Belli qui relatera la
suite et la fin de « Spécial Crète, Mai 41 ».
Programme n° 3
Comment calculer les points de dégâts occasionnés par un bombardement
aérien.
Ce programme est la suite logique du n°2 qui lui, permettait de
déterminer le nombre et la catégorie des bombes ayant atteint
l'objectif.
Avec le n°3 le nombre de points de dégâts vous est donné.
Calcul des points de dégâts
220 LPRINT [2,1]
221 A=RND(0) :DIMN$( l2),NO(12),BO(5,5),B1(5):GOSUB 10000
222 DEFFNR-INT(RND(100)*100)+1
223 DEFFND=INT(RND(10)*6 )+1
224 CLS:INPUT"NOMBRE DE TYPES DE BB";NO
225 DIM D(NO,1):FOR I=l TO NO
230 INPUT “POIDS, NONBRE”;PD, D( I, 1)
235 K=0:FOR J=0 TO 5:IF PD=B1(J) THEN D(I,0)=J :J=6:K=1
240 NEXT J
245 NEXT:DG=0:LPRINT.”LES IMPACTS DE : "
250 FOR I=l TO NO:LPRINT D(I,1)"BB DE";Bl(D(I,0));"KGS"
255 FOR J=1 TO D( I,1) :DG=DG+B(D( I,0), FND):NEXT J, I
260 LPRINT"ONT PROVOQUE";DG;
261 LPRINT"POINTS DE DEGÂTS SUR L'OBJECTIF"
10000 RESTORE 11000
10001 FOR I=0 To 5:FOR J=0 TO 5:READ B(I,J):NEXT J,I
10010 FOR I=0 TO 5:READ B1(I):NEXT I
10910 RETURN
11000 DATA 0.5,0.50.25,0.25,0.15,0.05
11010 DATA 1,1,0.5,0.5,0.25,0.15
11020 DATA 2,1.5,0.75,0.75,0.5,0.25
11030 DATA 4,3,1.5,1.5,1,0.25
11040 DATA 6,4,2,1.75,1.5,0.5
11050 DATA 8,6,3,2.5,2,0.5
11060 DATA 50,100,250,500,750,1000
EXEMPLE DE RESULTAT :
LES IMPACTS DE :
20 BB DE 100 KGS
15 BB DE 250 KGS
10 BB DE 500 KGS
ONT PROVOOUE 28.3 POINTS DE DEGÂTS SUR L'OBJECTIF
Programme n° 4
Si le bombardement aérien concerne une base aérienne, ce
programme vous indique quels sont les objectifs atteints et détermine
l'importance des dégâts pour chacun d'eux.
Vous indiquez à l'ordinateur :
- le nombre d'avions sur les pistes
- Le nombre d'appareils dans les hangars
- Les points de DCA
- Les points de l'aérodrome
L'ordinateur vous calcule la valeur totale de l'objectif et indique la
répartition des dégâts.
Evaluation de l'objectif
- REPARTITION DES POINTS DE DEGÂTS -
264 LPRINT [2,0]:INPUT"COMBIEN DE POINTS DE DEGATS" ;DG
265 INPUT"COMBIEN D’AVIONS SUR LES PISTES" ;AP
266 INPUT"COMBIEN D'AVIONS DANS LES HANGARS" ;AH
267 INPUT''COMBIEN DE POINTS DE DCA";DC
268 INPUT"VALEUR DU TERRAIN";VT
269 VO=VT+AP+AH+DC :PP=DG/VO
270 LPRINT"EVALUATION DE L'OBJECTIF: "I;VO; "POINTS"
271 LPRINT CHR$( I3) :LPRINT''RESULTAT DU RAID AERIEN''
272 DP= INT (PP*AP):DH=INT (PP*AH)
273 DAA=INT(PP*DC):DT=DG-(DP+DH+DAA)
224 LPRINT DP"AVIONS INCENDIES SUR PISTES"
275 LPRINT DH;"AVIONS DETRUITS DANS LES HANGARS"
276 LPRINT DA; "POINTS DE DEGÂTS DCA"
277 LPRINT DT; "POINTS DE DEGÂTS SUR INSTALLATIONS ''
280 END
EXEMPLE DE RESULTAT
EVALUATION DE L'OBJECTIF : 88 POINTS
RESULTAT DU RAID AERIEN
5 AVIONS INCENDIES SUR PISTES
3 AVIONS DETRUITS DANS LES HANGARS
7 POINTS DE DEGÂTS DCA
13.3 POINTS DE DEGÂTS SUR INSTALLATIONS
Dans un prochain numéro je vous indiquerai un programme pour les
combats navals qui détermine :
- le nombre de salves au but
- Le nombre d'obus touchants
- Les points de dégâts occasionnés à la cible.
Amis wargames à bientôt.
Jean Ricard